Bonifacio
          Bonifaccio découpe le ciel derriere ton visage
 Le bleu du ciel de corse se confond avec celui de ta robe
 Dans tes yeux le bonheur du monde se décline en images
 Et mon regard t’accueille et ma tendresse t’enrobe.
 Je connais bien le coeur des femmes et le tien surtout
 Je sais tout le bonheur qu’il sait contenir et peut donner
 L’amour et la tendresse, l’amitié qui est tout
 Je veux t’en redonner, que tu puises dedans quand tu voudras aimer,
 Et je connais aussi un peu le corps des femmes
 Je sais la grâce et l’élégance du tien et ta sensualité mesurée
 Quand à la pointe du sein fleurit la rose des sables
 Sur le sommet des dunes et des vallons désirés,
 Je sais tes oasis aux larmes de tes yeux
 Et l’ombre de ses branches au vent  de tes cheveux
 Je sais montagnes et forêts, rivières posées creux des seins 
 De tes jambes à tes hanches, des épaules à tes reins.
 Je connais un peu l’âme des femmes et la tienne bien sûr
 Qui sait la grandeur, le don, la dignité, l’amour
 Et cette âme et ce corps, et ce corps et ce coeur,j’en suis sur
 Réunis chez toi se rejoignent chez moi quand je m’éveille au jour
Ce texte sur Bonifaccio est à retrouver dans mon livre "Les Jours parallèles" à re-découvrir avec d'autres textes sur mon site wwwhg-amiot.fr 
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