mardi 22 octobre 2013

Bonifaccio



Bonifacio




          Bonifaccio découpe le ciel derriere ton visage
Le bleu du ciel de corse se confond avec celui de ta robe
Dans tes yeux le bonheur du monde se décline en images
Et mon regard t’accueille et ma tendresse t’enrobe.

Je connais bien le coeur des femmes et le tien surtout
Je sais tout le bonheur qu’il sait contenir et peut donner
L’amour et la tendresse, l’amitié qui est tout
Je veux t’en redonner, que tu puises dedans quand tu voudras aimer,

Et je connais aussi un peu le corps des femmes
Je sais la grâce et l’élégance du tien et ta sensualité mesurée
Quand à la pointe du sein fleurit la rose des sables
Sur le sommet des dunes et des vallons désirés,

Je sais tes oasis aux larmes de tes yeux
Et l’ombre de ses branches au vent  de tes cheveux
Je sais montagnes et forêts, rivières posées creux des seins 
De tes jambes à tes hanches, des épaules à tes reins.

Je connais un peu l’âme des femmes et la tienne bien sûr
Qui sait la grandeur, le don, la dignité, l’amour
Et cette âme et ce corps, et ce corps et ce coeur,j’en suis sur
Réunis chez toi se rejoignent chez moi quand je m’éveille au jour


Ce texte sur Bonifaccio est à retrouver dans mon livre "Les Jours parallèles" à re-découvrir avec d'autres textes sur mon site wwwhg-amiot.fr 


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